Aujourd’hui, suite à la crise sanitaire, quels arguments mettez-vous en avant auprès des organisateurs d’événements professionnels du marché français pour les inciter à proposer à leurs clients les pays où vous opérez en Amérique latin et en Afrique australe ?
« Le premier argument qui va de soi finalement, c’est que nous sommes là et que nous avons toujours été très présents auprès de nos clients pendant ces deux longues années. Et, au sortir de la crise, grâce à une gestion financière saine, nous avons su préserver nos bureaux locaux et français, tant sur le plan commercial que technique, ce qui nous a permis de rebondir dès la reprise.
De même, nos bureaux locaux se sont très vite mobilisés pour retourner à la rencontre de nos prestataires, renouer les liens commerciaux et trouver de nouvelles offres séduisantes pour notre clientèle MICE.
En parallèle, nous continuons à développer des projets RSE dans de nombreux domaines qui offrent différents niveaux d’implication en fonction des besoins des clients.
Enfin, la situation géopolitique actuelle fait de l’Amérique latine et de l’Afrique australe des destinations attractives en termes de prix et de sécurité.
Notre présence en France assure à nos clients un soutient commercial essentiel et dynamique, pour des équipes que la reprise aurait pu fragiliser.
Enfin, je terminerai sur le fait que cette seule présence en Europe garantit à nos partenaires mais également à leurs propres clients une sécurité financière non négligeable. »
