La démarche RSE, responsabilité sociétale des entreprises, fait désormais partie intégrante de la stratégie d’entreprise. Dans l’événementiel comme dans tout autre univers. Et chaque entreprise peaufine ses actions. Témoignages.
Avez-vous mis en place une démarche/stratégie RSE dans votre entreprise ?
Jessica Chailloux : Novelty est, depuis 2012, labellisé PrestaDD. Et le niveau de maturité atteint nous permet d’entamer maintenant une démarche de certification ISO. À noter que le groupe Novelty-Magnum-Dushow, dont fait partie Novelty, est la première et seule société du secteur à employer un préventionniste qualité/sécurité/environnement à plein temps.
« Depuis le début, nous menons une démarche limitant l’impact sur l’environnement. »
Eytan Victor de Almeida
Chef du département Event chez Mahola Hôtesses
Eytan Victor de Almeida : Depuis plusieurs années, Mahola inscrit le développement durable au cœur de ses processus opérationnels et de ses outils, s’engageant ainsi pour un accueil prestige éco-socio-responsable. En 2017, Mahola a renouvelé ses engagements en matière de RSE : partager notre vision RSE avec nos parties prenantes, faire grandir nos collaborateurs et la diversité, accueillir avec l’esprit de service Mahola, réduire notre empreinte environnementale, se mobiliser en faveur de l’économie circulaire et s’engager solidairement.
Claire Pennarun : Nous avons mis en place la norme ISO 20121 effective, à ce jour, chez tous nos adhérents. Dédiée au management responsable de l’activité événementielle, elle intègre trois enjeux prioritaires, la promotion des produits locaux et des circuits courts, la mise en avant d’une logique d’économie circulaire et la contribution à la sensibilisation de la filière. Il était inconcevable pour nous de ne pas être certifiés puisque notre réseau Traiteurs de France organise des road shows événementiels, d’importants congrès nationaux et internationaux.
« Nous avons engagé cette année une démarche de certification ISO 20121. »
Claire Schwartz : Nous avons souhaité que la RSE
Claire Schwartz
Responsable RSE chez Châteauform’
chez Châteauform’ soit plus une philosophie qu’un projet. Intitulée la philosophie ReSpEct et construite en lien avec les attentes de nos parties prenantes internes et externes, elle repose sur trois piliers d’engagement, le respect de nos clients et partenaires, le respect de nos talents, le respect de notre environnement. En tant que responsable RSE, je pilote cette démarche dans laquelle je suis accompagnée par un comité RSE représentant les différents métiers de l’entreprise afin que la philosophie ReSpEct infuse à tous les niveaux et tous les services. Sur la base de ces axes d’engagement, nous avons défini, sur trois ans, un plan d’action régulièrement enrichi de divers projets. Enfin, pour cadrer et légitimer notre démarche, nous avons choisi de suivre la norme ISO 20121, la certification RSE spécifique à l’événementiel, et visons la certification pour début 2020.
Catarina Rodrigues
Chargée de mission RSE chez MATCHevent et MATCHconcept
Catarina Rodrigues : Absolument.
MATCHevent est particulièrement et
depuis longtemps sensibilisé à l’impact environnemental, social et
économique de ses activités. Afin de mettre en lumière cette
préoccupation, nous avons engagé cette année une démarche de
certification ISO 20121.
Emmanuelle Coratti : Depuis 2009, nous menons des actions en matière de développement durable. Il s’agit d’une démarche qui s’inscrit dans le temps. Ainsi, nous avons avancé sur la question des déchets et développé le recyclage et le réemploi. En amont, nous optons pour des produits écoconçus.
« La société prend particulièrement en compte les risques santé et bien-être de l’ensemble de son personnel. »
Lionel Duval : Duval Paris est engagée depuis près de 10 ans dans une démarche de responsabilité sociétale de l’entreprise. À ce titre, nous avons fait appel en 2011 à un cabinet de conseil afin que notre démarche soit mise en place de façon cohérente et en suivant les directives données par la norme ISO 26000.
Quelles actions avez-vous déjà menées et/ou quelles sont celles qui sont en cours de réalisation ?
Jessica Chailloux : Depuis le début, nous menons une démarche limitant l’impact sur l’environnement, notamment par des choix technologiques, LEDs, réduction des consommations d’énergie et renouvellement de la flotte de transport avec un passage à l’hybride. De son côté, le volet social se développe autour de l’insertion et de la sécurité du personnel. Sur le premier point, la société adhère au GEIQ des Ressources Scéniques et Événementielles (GEIQ RSE), sur le second elle poursuit régulièrement les actions de formation. Des actions complétées par l’accompagnement de notre préventeur.
Eytan Victor de Almeida : Mahola mobilise ses collaborateurs et ses clients autour d’une démarche collaborative par l’action privilégiant les petits pas et l’expérimentation. Et mesure ses contributions sociétales au travers d’indicateurs extra-financiers depuis 2017. Porteuse de l’esprit du Pacte Mondial et des Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations-Unis, Mahola s’engage à progresser continuellement. Sa politique RH, au service de la valorisation du capital humain, est tournée vers l’emploi jeune, l’insertion des personnes en situation de handicap, le partage des bonnes pratiques métier « Signatures de Service » entre les plus expérimentés et les plus jeunes. La société prend particulièrement en compte les risques santé et bien-être de l’ensemble de son personnel. À la clé, un programme de sensibilisation sur la nutrition responsable et l’hydratation, les bons gestes et postures au travail, la santé de la peau. De plus, un partenariat est envisagé avec l’Institut Curie pour la sensibilisation contre le cancer de la peau. Par ailleurs, le programme Éco-gestes Mahola porte sur la dématérialisation du processus d’accueil, la sensibilisation au tri des déchets, l’économie des ressources, les transports alternatifs et mobilité douce. Côté tenue d’hôtesses, quoi de mieux qu’un uniforme identitaire et écoresponsable pour soigner le premier contact client et véhiculer un message fort. Résultat les uniformes sont écoconçus, les tissus en matières premières alternatives privilégiés, les uniformes en fin de vie recyclés.
« Nous avons toujours mis notre engagement RSE au cœur de notre ADN et nous nous devons montrer l’exemple. »
Éclairis mise sur le bon sens
Pour Romain Nony, directeur commercial, « la RSE n’est pas adaptée aux TPE ». « Pour autant nous sommes très actifs chez Éclairis et recyclons au maximum. Ce qui correspond d’ailleurs tant à nos convictions qu’aux attentes des clients. Certes notre matériel technique induit peu de déchets, mais nous proposons plein de solutions réutilisables ainsi que des produits autonomes ou économes en énergie. De plus, nos véhicules sont régulièrement entretenus. En un mot, le bon sens prime. Il s’agit de bon sens, mais aussi de question de survie. Dans une TPE, l’humain est primordial, nous n’avons pas les moyens humains de mal fonctionner : chaque maillon est essentiel », déclare-t-il.
Claire Pennarun
Vice-présidente des Traiteurs de France en charge de la qualité et de la RSE et directrice générale de la Maison Pennarun
Claire Pennarun : Des actions très concrètes ont été mises en place comme la création et la mise en avant d’un menu locavore au sein de notre offre (70 % des matières premières produites à moins de 200 km de nos laboratoires), la lutte contre le gaspillage alimentaire et la redistribution des surplus de nos réceptions via des associations implantées partout en France, l’inclusion des jeunes issus de milieux difficiles en organisant avec nos chefs des ateliers culinaires dans les foyers en partenariat avec la Tablée des Chefs, l’amélioration de la gestion de nos déchets et du tri…
« Nous sommes labellisés prestaDD et EcoVadis. »
Claire Schwartz : Beaucoup de choses sont en place depuis longtemps chez Châteauform’. Avant même qu’émerge le sujet de la RSE. En effet, le respect des talents a toujours été le leitmotiv de l’entreprise. C’est pourquoi nous avons, depuis la création de Châteauform’, mis un point d’honneur à former nos talents, développer leurs compétences, les faire grandir au sein de l’entreprise et favoriser leur bien-être. La qualité de vie au travail est mesurée chaque année dans notre enquête Happy@Châteauform’ et des plans d’actions sont mis en place par les leaders pour améliorer la satisfaction de leurs équipes. Sur la partie environnementale, nous avons lancé, plus récemment, plusieurs actions emblématiques en particulier sur la réduction des déchets et du gaspillage. J’ai tendance à clamer à qui veut l’entendre que « le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas ». Aussi, nombre de nos maisons ont déjà éradiqué, partiellement ou totalement, les bouteilles en plastique. Nous avons également avancé sur le tri, le recyclage et la valorisation des déchets. Notre traiteur Nomad, la table de Châteauform’, en est un parfait exemple. Au laboratoire, tous les déchets sont triés. Quant à la lutte contre le gaspillage alimentaire, c’est notre combat quotidien et nous avons énormément progressé. Ce qui passe par une démarche d’achats responsables (approvisionnements locaux et responsables) et une bonne gestion de la production.
Éric Tordjman : Nous sommes labellisés prestaDD et EcoVadis.
Kieffer : traiteur engagé
Certifié ISO 20121, le traiteur alsacien (groupe Éventail et membre des Traiteurs de France) développe diverses actions : lutte contre le gaspillage alimentaire, réduction des emballages et choix d’objets jetables bio-dégradables, flotte de véhicules frigorifiques moins polluants. Par ailleurs, Kieffer a mis en place le tri sélectif sur ses prestations et vise une réduction des déchets de 10 % et leur recyclage à 50 %. De même, l’entreprise privilégie les produits régionaux et les circuits courts. Pratiquant l’égalité homme/femme, Kieffer emploie des personnes handicapées et travaille au maximum avec des sociétés d’insertion pour l’entretien des locaux ou des extérieurs.
Mahola Hôtesses mécène
En plus de ses engagements RSE, Mahola Hôtesses mène diverses actions : soutien de plusieurs projets humanitaires en Afrique, notamment, via l’association Enfance & Nature, engagement, depuis 2015, dans un programme socio-économique et environnemental pour la restauration et la replantation d’une oliveraie solidaire au Maroc. Mahola Hôtesses propose aussi à ses clients de s’associer à son programme de reforestation solidaire pour co-construire un projet client/fournisseur porteur de sens en mobilisant ses parties prenantes et d’expérimenter avec un « produit dérivé » réalisé à partir de l’huile d’olive issue de l’oliveraie solidaire Mahola (produits alimentaires ou cosmétiques).
Emmanuelle Coratti : Nous faisons évoluer les services et les produits, éclairage LEDs, cloisons en bois PEFC ou FSC. Les produits alternatifs doivent devenir les standards de demain. Et si on n’y est pas encore, on note une montée en puissance de cette demande. Raison pour laquelle nous passons progressivement, par exemple, à la moquette en dalles réutilisables en lieu et place de produits consommables et éphémères. À condition qu’il n’y ait pas de surcoût. De même, nous luttons contre le gaspillage alimentaire.
Chloé Athiel Chargée de marketing et communication pour le secteur événementiel chez Calixir
Chloé Athiel : Certifiés ISO 20121 depuis deux ans, nous avons déjà mis en place la collecte des bio-déchets, des actions anti-gaspi, des boîtes anti-gaspi similaires aux « doggy bag ». Par ailleurs, nous sponsorisons la FF Handisport depuis plus de 25 ans, nos chefs rencontrent des jeunes en difficulté via la Tablée des Chefs, pour leur apprendre à mieux se nourrir. Nous embauchons aussi des handicapés et sommes parrain d’une ruche bio. Nous cherchons des solutions pour lutter contre le plastique avec le remplacement des couverts et des verres jetables. Le carton et l’amidon de maïs constituent des alternatives intéressantes, mais la meilleure solution reste la vraie vaisselle.
« Nos salariés sont partie prenante et nous souhaitons sensibiliser clients, partenaires et fournisseurs. »
Lionel Duval : Nos nouveaux locaux, inaugurés en 2015, ont été pensés afin de limiter certains de nos déplacements puisque notre laboratoire de production se situe sur le même site que l’entrepôt matériel. Et nos tournées de livraison sont optimisées grâce au logiciel Geonaut qui indique les circuits les plus courts. Résultat, nous réduisons les distances parcourues et diminuons les émissions de CO2. D’autre part, les huiles et graisses de cuisson sont récupérées dans des fûts et recyclées par l’entreprise Quatra. Et nous trions l’ensemble de nos déchets : verres et cartons sont confiés à nos prestataires qui assurent leur recyclage. De plus, notre société lutte contre le gaspillage et met actuellement en place le tri des bio-déchets en partenariat avec la société Moulinot chargée de les transformer en compost. S’y ajoute la réduction des contenants en plastique et de l’ensemble des emballages au profit de matières réutilisables recyclées ou recyclables. Et la redistribution des surplus alimentaires par la Tablée des Chefs à ses bénéficiaires. Nous attachons aussi une importance toute particulière à l’accueil de jeunes dans le cadre de stages, formations en alternance, contrats d’apprentissage ou de professionnalisation.
« Nous avons souhaité que la RSE chez Châteauform’ soit plus une philosophie qu’un projet. »
Catarina Rodrigues : En premier lieu, nous avons intégré une personne
uniquement dédiée à ce sujet. Nous avons ensuite effectué diverses actions, parmi lesquelles l’élimination des gobelets et agitateurs en plastique de l’entreprise ; la mise en place d’un système de lavage pour favoriser la réutilisation des nombreux chiffons microfibres utilisés sur nos opérations et l’enrichissement de notre flotte de véhicules électriques. Sans oublier l’achat d’une broyeuse à bois pour faciliter la réutilisation des éléments de stand sous forme d’OSB. Nous avons également peint en blanc le toit de notre bâtiment avec un traitement à base de coquilles d’huîtres « spécial économie d’énergie » et étudions, actuellement, la meilleure offre de collecte, tri et valorisation des déchets. De nombreuses actions restent encore à programmer.
Té Créateur d’Instants maîtrise son impact environnemental
Le traiteur événementiel a mis en place une politique d’achat responsable, un laboratoire culinaire écoconçu, l’optimisation logistique des événements, la formation des équipes au développement durable, une démarche de valorisation des déchets organiques. Té Créateur d’Instants propose une carte composée de produits de saison, locavores, issus de l’agriculture biologique, de la biodynamie, du commerce équitable : viandes d’origine 100 % française labellisées (Label Rouge, Bleu-Blanc-Cœur, Saveurs Île-de-France), 95 % de poissons et crustacés sauvages issus de la pêche responsable, beurre, œufs, farines, sucres et huiles 100 % bio, 90 % de fruits et légumes frais issus de l’agriculture biologique ou raisonnée, cave à vin 100 % bio ou en conversion bio. Té Créateur d’Instants s’engage aussi dans l’insertion par l’activité économique. Objectif : employer des personnes éloignées de l’emploi, les accompagner et les faire monter en compétences pour une insertion sociale et professionnelle durable.
Comment va évoluer votre démarche actuelle et jusqu’où pensez-vous pouvoir aller ?
Jessica Chailloux : Nous sommes dans l’amélioration continue pour nous développer au service de nos clients.
Eytan Victor de Almeida : Au-delà des enjeux de notre propre cœur de métier, nos actions à venir, et en 2020 en particulier, vont porter sur la mise en valeur des personnalités qui travaillent chez Mahola, les « aventuriers/pépites de Mahola » : connaître et partager leurs engagements au profit d’actions collectives, les relier à nos activités, en faire la promotion. Nous souhaitons aussi parvenir, prochainement, à ne plus utiliser de papier. Bien sûr, nous maintenons nos engagements sur la composante environnementale, un axe qui guide nos achats et sur lequel nous attendons de nos collaborateurs qu’ils soient aussi vigilants en interne que lors des événements en cohérence avec les engagements de nos clients. Une autre de nos ambitions est de développer des actions communes avec nos clients, en les invitant à participer à nos projets ou en s’insérant par nos actions à leurs propres enjeux. En d’autres termes, une démarche RSE ne peut se concevoir, aujourd’hui, que comme la somme des efforts de tous.
« Les produits alternatifs doivent devenir les standards de demain. »
Claire Pennarun : Avec l’aide des parties concernées, salariés, fournisseurs, prescripteurs, nous réfléchissons aux étapes suivantes, pour proposer toujours plus de produits locaux et issus d’une production durable, imaginer des concepts de réceptions limitant notre impact environnemental, réduire encore plus le gaspillage alimentaire… Il y a encore beaucoup de travail et d’actions à mener. C’est d’ailleurs ma mission au sein de Traiteurs de France en tant que vice-présidente en charge de la qualité et de la RSE. Nous avons toujours mis notre engagement RSE au cœur de notre ADN et nous nous devons, en tant qu’acteur national et leaders dans nos régions, montrer l’exemple.
Claire Schwartz : Notre premier objectif à très court terme est l’obtention de la certification ISO 20121. Nous espérons y parvenir d’ici janvier 2020. Par cette certification, nous nous engageons sur un cycle de trois ans minimum avec une dynamique d’amélioration continue. L’évolution de notre démarche sera aussi influencée par celle des attentes de nos clients. Ceux-ci ne se satisfont pas de quelques actions éparses et recherchent des acteurs véritablement engagés. Ils nous challengent en permanence et c’est ce qui nous fait grandir. Je ne pense pas qu’il y ait véritablement de limite dans la progression vers plus de responsabilité. Il ne tient qu’à nous de nous fixer des objectifs ambitieux et d’avancer main dans la main avec nos clients, participants, fournisseurs et talents pour faire des séminaires et événements d’entreprises toujours plus responsables !
Eric Tordjman : Améliorer nos performances dans nos labellisations et essayer d’atteindre la certification ISO 20121.
Emmanuelle Coratti : Nous souhaitons réduire notre l’impact carbone, d’ailleurs le basculement d’une partie de la flotte automobile à l’électrique est à l’étude. Nous nous intéressons aussi de près au gaspillage alimentaire. De même pour la certification ISO 20121. Enfin, sur un point plus social, nous avançons sur le handicap depuis 4/5 ans et sur l’insertion depuis l’an dernier. Très positive, cette démarche s’intègre dans la stratégie de l’entreprise et nous souhaitons aller le plus loin possible. C’est un sujet de fond qui s’inscrit dans le temps. Malheureusement certains pratiques et usages peuvent encore bloquer. Nous avons un rôle à jouer pour faire progresser les filières dans ce sens.
« Nous attachons aussi une importance toute particulière à l’accueil de jeunes. »
Chloé Athiel : Nous évoluons vers la certification. Nos salariés sont partie prenante et nous souhaitons sensibiliser clients, partenaires et fournisseurs, entre autres, au bio, au local et aux produits de saison.
Lionel Duval : Nous sommes désormais engagés dans un processus de certification ISO 20121.
Catarina Rodrigues : Après l’obtention de la certification ISO 20121,
nous souhaitons proposer à nos partenaires et clients une offre de
services techniques événementiels 100 % éco-responsable.
Aktuel pratique la RSE depuis plusieurs années
« La location est par essence vertueuse dans l’événementiel : choix des produits, matériel toujours entretenu, et surtout tout est repris à la fin de l’événement, ce qui permet de tendre vers le zéro déchet, explique Marion Bonnet, responsable marketing et communication. Aktuel se positionne sur le sujet de la RSE depuis plusieurs années, avec la réalisation d’un bilan carbone en 2010, puis une labellisation « Management équitable » niveau intermédiaire auprès de l’Aframe en 2015. Aktuel est aussi signataire de la charte « Diversité » pour promouvoir le mieux vivre ensemble depuis 2015, membre du réseau « Entrepreneurs d’avenir » pour encourager une économie bénéfique pour l’humanité, la planète et la société, certifiée ISO 20121, seule et unique norme de management responsable appliqué à l’activité événementielle certifiable et reconnue à l’international. La certification ISO 20121 est une étape supplémentaire pour concrétiser tout ce que nous avons mis en place, et aussi une aide pour se structurer sur les sujets RSE sur le long terme et de manière globale. »
Par Martine Léonard
